Les dispositifs d’éducation et de scolarisation pour « jeunes avec handicaps associés » (ici de jeunes sourds) ont l’avantage de proposer des réponses inexistantes dans le milieu ordinaire. Mais ce faisant, ils assignent dans le même temps ces jeunes à une catégorisation excluante et à des représentations d’incapacités éloignées de la norme.
Cela reste un défi pour les professionnels, les parents et les jeunes eux-mêmes de s’extraire de cette assignation. Ils doivent être accompagnés vers une insertion en milieu protégé adulte.
Définition du handicap.
Réglementairement (Annexe XXIV quater), la catégorie « sourd avec handicap (s) associé (s) » qualifie une personne ayant une déficience auditive, à laquelle s’ajoutent, ou sont associées, d’autres déficiences physiques, sensorielles, intellectuelles ou mentales, ou des « troubles » de la relation, de la personnalité, de la cognition ou des apprentissages. La notion de « handicap rare » vient croiser cette première catégorisation sur des aspects épidémiologiques de.
Selon la définition de l’Organisation Mondiale de la Santé (OMS), « est handicapée toute personne dont l’intégrité physique ou mentale est passagèrement ou définitivement diminuée, soit congénitalement, soit sous l’effet de l’âge ou d’un accident, en sorte que son autonomie, son aptitude à fréquenter l’école ou à occuper un emploi s’en trouvent compromises ». Appelé aussi déficience intellectuelle, il correspond selon l’OMS à "une capacité sensiblement réduite de comprendre une information nouvelle ou complexe, et d’apprendre et d’appliquer de nouvelles compétences (trouble de l’intelligence). La comorbidité désigne les troubles ou pathologies associés à l’autisme.
La façon dont l’autisme se manifeste est très variée en raison de la multitude des symptômes, du degré d’autisme présenté, des pathologies et troubles éventuellement associés, de la présence ou non d’une déficience intellectuelle, etc. Ce qui définit le polyhandicap, c’est l’association de plusieurs déficiences (déficience motrice et déficience mentale sévère) ayant comme conséquence une restriction extrême de l’autonomie et des possibilités de perception, d’expression et de relation.
Le handicap mental.
Il s’ensuit une aptitude diminuée à faire face à toute situation de manière indépendante (trouble du fonctionnement social), un phénomène qui. Si l’on considère le trouble moteur associé à d’autres déficiences, cette estimation atteint 4%. Il concerne les personnes aveugles mais aussi des personnes malvoyantes.
Cette définition s’applique à tout individu, femme ou homme, ayant une déficience. Il peut s’agir d’un enfant, d’un adulte ou d’une personne aînée. En ce qui a trait à l’incapacité, elle peut être motrice, intellectuelle, de la parole ou du langage, visuelle, auditive ou associée à d’autres sens. Elle peut être reliée à des fonctions organiques, ou encore, liée à un trouble du spectre de l’autisme ou à un trouble grave de santé mentale.
Handicap intellectuel. Au cours du temps, le monde du handicap a acquis son propre vocabulaire. Découvrez les définitions des mots du handicap. S’agissant d’une personne, elle voit ses activités quotidiennes limitées ou restreintes en raison d’une altération d’une ou de plusieurs fonctions cognitives ou physiques.
Au fil du temps, le handicap a été perçu de différentes façons par la société. C’est également celui dont la spécificité de la prise en charge sociale exige qu’il soit délimité et donc défini.
Par ailleurs le handicap mental associe une limitation des capacités intellectuelles qui n’évolue pas, une stabilité dans les manifestations des symptômes, et une prise de médicaments très modérée ». Au XXe siècle, il était associé à une condition ou fonction dite détériorée par rapport à la situation général d’un individu. L’incapacité peut être motrice, intellectuelle, de la parole ou du langage, visuelle, auditive ou associée à d’autres sens.
Elle peut être liée à des fonctions organiques ou encore, liée à un trouble envahissant du développement ou à un trouble grave de santé mentale.
Mais loin d’aller d’un point A qui serait un modèle de compréhension initial tout médical vers le point B qui serait une compréhension socio-environnementale du handicap, l’histoire des conceptions du handicap s’apparente plutôt à un mouvement de. Cette dénomination est associée à des représentations dégradantes de pauvreté (mendiants) et de malhonnêteté (voleur).
Ces difficultés doivent être compensées par un accompagnement humain, permanent et évolutif, adapté à l’état et. Souvent détectées de façon précoce, les déficiences mentales limitent les activités de la personne en perturbant les fonctions cognitives.
Sa prise en charge nécessite la mise en oeuvre de protocoles particuliers qui ne sont pas la simple addition des techniques et moyens employés pour compenser chacune des déficiences considérées ». La déficience (altération d’un organe ou d’une fonction de l’organisme) entraîne une limitation d’activité physique ou psychique (incapacité) qui aboutit à une restriction de la participation à la vie sociale (désavantage). Différentes déficiences s’associent de façons diverses.
Il constitue un dispositif de protection sociale qui, à côté de l’égal accès aux soins, crée au profit des personnes handicapées un véritable droit pratique à l’accès à la vie civile. Il intervient ainsi en complément d’une approche strictement « sanitaire » du handicap.
Les capacités intellectuelles évoluent peu. Les personnes ayant un handicap mental sévère présentent plus de risques de connaître des troubles du comportement comparativement à la population générale.
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