Durant cette période, la loi interdit les expulsions de locataires, même si une mesure d’expulsion a été prononcée à leur encontre par la justice. La trêve hivernale est applicable chaque année, du er novembre au mars de l’année suivante. Peut-on se faire expulser en hiver ? Les expulsions locatives sont désormais interdites jusqu’en juillet.
Une mesure saluée par les associations qui souhaitent la prolonger jusqu’à la fin de l’année.
Explications sur la trêve hivernale, ce système particulier de protection. Qu’est-ce que la trêve hivernale ? Pendant cette période, les locataires ne peuvent pas être expulsés de leur logement, même en cas d’impayés de loyers.
Si une procédure d’expulsion a commencé avant le 1er novembre, elle peut se poursuivre pendant la trêve. La période, qui avait été prolongée au-delà du mars en raison de la crise sanitaire, a pris fin samedi.
Le porte-parole du Droit au logement, Jean-Baptiste Eyrau appelle les maires à. Un bailleur peut donner congé à son locataire, même si la fin du bail arrive pendant la "trêve hivernale".
Ce report a été fait en deux fois. Celles-ci sont suspendues pendant. Hormis ces cas, aucune expulsion ne peut être engagée contre un locataire durant la période de trêve hivernale. Attention, l’expulsion illégale est un délit.
Chaque année, elle débute le 1er novembre et se termine le mars. Aucune date officielle n’a toutefois encore été fixée. Pour rappel, tant que la trêve hivernale dure, il est impossible de procéder à des expulsions, même si les locataires ne paient plus leur loyer ou partiellement. Un propriétaire ne peut pas déloger son locataire.
Quelles sont les dates. Mais cette protection ne s. Elle permet de protéger les locataires durant les périodes de grands froids.
Ainsi, le locataire, avec des loyers impayés et susceptible d’être expulsé, peut passer l’hiver à l’abri dans son logement. Les locataires en difficulté, eux, doivent se signaler. Cette phase est appelée trêve hivernale. Elle interdit du 1er novembre de l’année en cours jusqu’au mars de l’année suivante, c’est-à-dire pendant la période la plus froide de l’année, toute expulsion du locataire défaillant et autres occupants illégitimes.
La période de trêve hivernale, qui protège les locataires contre toute expulsion, a été prolongée de mois.
Elle débute au 1er novembreet s’achève au marsde l’année suivante. Cela signifie que même si un locataire ne paie plus ses loyers à son bailleur, il ne peut pas être mis à la. Le but premier de la trêve hivernale est de protéger les locataires les plus démunis contre les expulsions en période de grand froid. Pour ce faire, la trêve hivernale interdit strictement toute expulsion ou coupure d’électricité ou de gaz durant l’hiver.
Exceptions à la trêve hivernale. Que peut-on faire pendant la trêve hivernale ? Si les locataires irrespectueux de leurs obligations ne peuvent être expulsés de leur logement, le propriétaire du logement occupé à tout de même d’autres cordes à son arc.
D’un locataire dont l’expulsion est assortie d’un relogement correspondant à ses besoins familiaux (le nombre de pièces doit correspondre au nombre d’occupants). Dans ces différents cas, l’huissier de justice devra prendre un procès-verbal de tentative d’expulsion ou de difficulté d’exécution (en période hivernale ). Une fois qu’on a expliqué ça, avec l’état d’urgence sanitaire, c’est aussi la période de la trêve hivernale qui a été prolongée.
C’est un délai où les locataires sont. Une trêve hivernale bloque toute procédure d’expulsion pendant une période de plusieurs mois. Trêve hivernale : une mesure de protection des locataires. Même si la trêve hivernale protège les locataires, rien n’empêche le propriétaire d’entamer les démarches d’expulsion pendant cette période et attendre la fin de la trêve pour faire exécuter la décision de justice.
Période hivernale en Outre-mer : un nom et des dates différents. Pour tenir compte des spécificités climatiques des DOM-TOM, l’article L611-permet aux représentants de l’état en Guyane, Guadeloupe, Martinique, Mayotte et Réunion, de fixer librement, après avis du Conseil général, la période durant laquelle devront être suspendues toutes mesures d’expulsions.
Présents sur le terrain, les huissiers de justice constatent une méconnaissance des possibles solutions pour les deux parties. Petit rappel méthodologique.
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